
Pourquoi cultiver du cannabis en monoculture?
A cause de la limitation de l’espace lors d’une culture en extérieur, il peut sembler un peu absurde de cultiver un seul type de plante. Dans la culture de cannabis, pour différentes raisons, l’option de la monoculture est généralement appliquée, laissant de côté la richesse et les avantages d’intégrer le cannabis au sein d’une polyculture de légumes, de plantes aromatiques et de fleurs.
Les plantes de cannabis s’adaptent parfaitement aux cultures de légumes, que ce soit dans un environnement rural ou urbain. Partager l’espace de culture avec d’autres végétaux permet d’obtenir des avantages qui peuvent profiter au cannabis sous différentes formes.
Au-delà des bénéfices évident au niveau de la variété des produits obtenus lors d’une polyculture, il faut également ajouter les bénéfices directes sur le cannabis cultivé en polyculture. Cela peut jouer un rôle sur des aspects aussi importants que le contrôle des parasites et des maladies, la fertilisation, la production et la qualité finale de la récolte.

La fin de l’hiver et le début du printemps sont les meilleurs moments pour planifier une futur culture d’extérieur de cannabis, il reste en effet assez de temps pour préparer tranquillement une culture idéale par rapport à nos possibilités.
L’étude de l’espace de culture, du matériel dont nous disposons et l’attention que nous pouvons apporter au jardin, augmente la probabilité d’optimiser son temps, mais également de l’argent qui sera investi durant tout le processus de culture.
Le travail préalable de planification nous aidera également à prévenir des situations ou des besoins propres qui pourront subvenir durant le processus de culture – arrosage, fertilisation, taille, prévention, récolte, etc.

Une terre en bonne santé est une terre productive
Une récolte en pleine santé en terre est un sol riche. La santé d'un substrat peut se mesurer par la diversité des organismes et micro-organismes qui le compose. Ces habitants microscopiques du sol, aussi bien les champignons que les bactéries qui établissent toute une série de relations avec la plante essentielles pour mener à bien une récolte de cannabis.
Dans tous les substrats ces micro-organinismes bénéfiques doivent être maintenus et même favorisés Il est essentiel de trouver l'équilibre pour son support de culture. Equilibre qui nous donnera les conditions optimales pour le développement de nos plantes. Tous ces microbes du sol vivent une relation symbiotique avec les plants pour pour former la chaîne alimentaire.

Qu'est qu'une variété pure ou dite Landrace
Une Landrace, ou variété pure est une variété de cannabis native d'une région bien spécifique s'étant adaptée de génération en génération à son environnement, ainsi elle a conservée son génotype resté inaltéré car isolée des autres variétés.
Le cannabis est une plante très ancienne ( probablement originaire des chaînes de l'Himalaya) et cultivé depuis des milliers d'années, aussi bien pour ses qualités récréatives, ses propriétés médicinales et son utilisation industrielle, dans l'alimentation. Passé les siècles et selon la latitude de culture le cannabis s'est adapté à différents climats, plus particulièrement dans la zone inter-tropicale et beaucoup d'autres endroits tempérés du globe.
Les 7 erreurs les plus fréquentes lors du séchage de marijuana

Après avoir pris soin de nos plantes pendant plusieurs mois, arrive enfin le moment de la récolte. Quelle que soit la variété de cannabis vous cultivées, vous souhaiterez probablement la sécher avant de la consommer. Bien que cela puisse paraitre être une phase peu importante (le plus difficile est passé !), un bon séchage des plantes est fondamental pour profiter de la meilleure qualité possible, tout comme à l’inverse, un séchage inadéquat peut ruiner nos efforts … et notre récolte !
Dans notre article sécher et affiner la marijuana nous vous donnions déjà les bases pour réaliser un séchage parfait des plantes. Dans ce nouvel article, nous allons nous concentrer sur les erreurs les plus fréquentes au moment de sécher nos précieuses têtes, erreurs qui comme nous l’avons dit, peuvent mettre en péril les fleurs dont nous nous occupons depuis des mois. Voyons quelles sont les erreurs typiques lors du séchage de la marijuana.

Des trois phases qui composent le développement d’une plante de marijuana à partir d’une graine - germination, croissance et floraison -, la seconde étape, la croissance végétative, pourrait paraitre la moins délicate ou moins importante. Grosse erreur, car chaque phase fait partie d’un même processus et toute irrégularité ou inattention dans la culture durant l’une d’entre elles se répercutera sur tout le reste du processus de développement de la plante. C’est pourquoi, la phase végétative ou de croissance de la marijuana, est tout aussi importante que la germination ou la floraison.
Nous appelons phase de croissance ou végétative, la période de développement de la plante qui va de la graine germée au début de floraison de la plante. Lors de cette phase, la plante fait une croissance exponentielle ; plus il y a de masse végétale, de branches et de feuilles qui se développent, plus la croissance est accélérée, générant à la fois plus de feuilles et plus de branches.
5 erreurs fréquentes pour faire germer des graines de cannabis

Comment faire germer des graines de marijuana?
Si la germination des graines de cannabis est un processus relativement simple et rapide, il convient de prendre en compte une série de facteurs importants pour obtenir un taux de germination le plus haut possible. De plus, faire germer les graines le plus rapidement possible nous intéresse également, mais surtout, sans aucun problème, comme par exemple une infection fongique ou un indice de germination trop bas.
Dans notre article sur comment faire germer des graines de marijuana nous vous expliquions déjà pas à pas ce que vous devez faire pour obtenir une germination fructueuse. Aujourd’hui, nous vous proposons de connaitre les principales erreurs commises durant ce processus, erreurs qui, comme nous le verrons, peuvent être résolues très facilement. Nous verrons ensuite pourquoi de nombreux cultivateurs échouent au moment de faire germer leurs graines, une bonne manière d’apprendre ce que nous ne devons pas faire si nous voulons profiter de nos graines au maximum.

Pour réussir avec succès une culture d’intérieur, vous devez disposer d’une série d’éléments. Dans cet article, nous vous offrons une brève liste des appareils qui ne peuvent pas manquer dans une culture intérieure de marijuana, vous épargnant ainsi des erreurs et surtout vous évitant de mettre en danger la récolte.
Extracteur/Intracteur
Renouveler l’air de notre culture intérieure est très important pour une bonne croissance des plantes et un rendement optimal. Nos plantes consomment du CO2 durant la journée et de l’O2 durant la nuit. Si nous ne ventilons pas correctement, les plantes ne pourront pas effectuer dûment leurs fonctions principales, car il leur manquera du CO2 durant la journée (période au cours de laquelle elles libèrent de l’O2) et de l’oxygène durant la nuit (lorsqu’elles libèrent du CO2).
Le changement d’air nous aidera également à contrôler la température, c’est pourquoi la ventilation est un facteur essentiel à prendre en compte. Sur notre blog, vous trouverez de plus amples informations sur le CO2 dans la culture de marijuana, qui éclaireront les doutes que vous pouvez avoir à ce sujet.

Au cours des dernières années, les concentrés de cannabis ont vu leur popularité s’étendre au monde entier, particulièrement en Amérique et en Europe. La grande qualité qu’offrent les techniques modernes d’extraction, ainsi que l’apparition de nombreuses variétés de marijuana spécialement sélectionnées dans ce but, ont conduit à une forte augmentation des utilisations d’extraits, tant de la part des utilisateurs médicinaux que récréatifs. Mais d’où viennent les concentrés de résine ? Quels ont été les premiers à se faire connaitre ? Quelle a été l’évolution des différentes techniques qui ont fini par apparaitre ?
Les extractions de résine de cannabis ont été utilisées durant des siècles, tant au niveau médicinal que ludique ou récréatif. Il n’existe pas de source fiable établissant clairement où et quand a été réalisé le premier concentré de marijuana, mais comme nous le verrons par la suite, nous avons un certain nombre de témoignages qui nous permettent de cibler l’origine de ce produit, qui sans doute provient du Moyen Orient ou d’Asie Centrale, avec une histoire datant de plus de 1000 ans.
Nous vous invitons à nous accompagner dans un passionnant voyage qui nous mènera en Perse du X siècle jusqu’à aujourd’hui, et dans lequel nous verrons l’évolution des différentes techniques et produits obtenus à partir d’une même matière première, notre chère plante de cannabis.

A cette période de l’année, lorsque l’été pointe le bout de son nez et que la chaleur est plus que présente, il est nécessaire de commencer à prendre une série de mesures préventives afin d’éviter l’apparition de parasites dans les plantes de cannabis, en particulier si elles n’ont pas été prises durant le reste de l’année, quelle que soit la variété de marijuana cultivée. La culture d’intérieur à cette époque est souvent accompagnée d’une série de ravageurs, qui reviennent de manière cyclique été après été, principalement dû aux hautes températures et au degré d’humidité ambiant. Ainsi, araignées rouges, trips et mouches blanches apparaissent durant cette période avec une grande facilité, il sera donc recommandable de commencer un programme de prévention contre ces parasites dans nos cultures et de nous assurer que nos plantes puissent se développer au maximum de leur potentiel.
D’autre part, dans le cas de culture d’extérieur ou en serre, c’est aussi un excellent moment pour réaliser ce type de traitements. Nous commencerons ainsi un programme de prévention qui nous assure que les plantes se développent en totale plénitude durant les semaines précédant le début de floraison. En effet, les plantes doivent commencer leur développement, complètement libres de parasites ou de maladies, si nous souhaitons obtenir la qualité maximale et le meilleur rendement possible.

Sans aucun doute, l’un des grands avantages de la culture de marijuana d’intérieur est la possibilité qu’offrent les différents systèmes pour éliminer l’odeur que dégagent les plantes, qui devient réellement intense durant leur floraison. Pour beaucoup d’amateurs de cette plante, la culture d’intérieur est l’unique option envisageable car il est ainsi possible d’éliminer l’odeur des plantes, qui rapidement, trahit son emplacement – aussi bien aux voisins, qu’aux voleurs ou encore aux forces de l’ordre – dans les cas de cultures en extérieur.
Par la suite nous ferons un bref rappel des méthodes les plus utilisées lors des cultures d’intérieur, afin d’éliminer l’odeur des plantes de marijuana. Comme vous le verrez, il existe un bon nombre de possibilités, certaines plus efficaces que d’autres. Cependant, en utilisant un système anti-odeur adapté, vous pourrez vous débarrasser complètement de l’odeur intense de vos plantes, chose indispensable pour éviter les contretemps liés à des tiers, qui pourraient vous conduire à des affaires graves tels que des vols ou des plaintes. Rappelez-vous toujours qu’une culture d’intérieur ne doit jamais avoir de fuite de lumière ou d’odeur vers l’extérieur, car ce sont les principaux indices qui peuvent vous conduire plus tard à des investigations (en plus du dérangement et des conséquences qui en résultent !).

Chez Philosopher Seeds nous sommes ravis de l’accueil qu’a reçu l’une des variétés que nous avons récemment incorporée à notre catalogue, plus précisément à notre Golo Line : Lemon OG Candy. Il est très réconfortant de voir tout le travail et les moyens investis dans ce nouvel hybride porter leurs fruits, en ayant réussi à créer l’une des meilleures plantes que vous pouvez trouver dans notre collection, et qui, nous en sommes certains, nous donnera à tous beaucoup de plaisirs.
Hybride entre une Haze exceptionnelle et une propre sélection de la populaire et célèbre Super Lemon OG, la Lemon OG Candy présente les traits les plus intéressants de ses parents dans un mélange explosif de saveur, d’arôme et à l’effet stimulant et cérébral. Comme nous allons le voir, ses caractéristiques la rendent idéale pour tous ceux qui recherchent une Haze de qualité, riche en nuances et facile à cultiver, sans complications ni longues périodes de floraison.

L’éclairage est un élément crucial permettant de réussir avec succès une culture d’intérieur. Grâce à lui, nous pouvons définir les heures de lumière journalières et les heures d’obscurité pour nos plantes, soit la photopériode. Elle nous permet de choisir entre l’étape de croissance ou l’étape de floraison. De plus, en appliquant une lumière avec le spectre et la puissance (lumens) adéquates pour chaque phase, nous obtiendrons une croissance optimale de nos boutures ou graines de cannabis, ainsi qu’une floraison généreuse et exubérante.
Dans cet article, nous souhaitons vous inviter dans une des salles de culture de Philosopher Seeds afin de vous en dire plus sur ce facteur d’une grande importance, et sur les types de lumière les plus souvent utilisés en culture intérieure, mais aussi, la manière d’utiliser votre équipement d’éclairage permettant d’obtenir le rendement maximum de vos plantes.

Bien trop souvent oubliée, la température de l’eau d’arrosage (si nous utilisons des engrais solides) ou une solution nutritive (si nous utilisons des fertilisants liquides) représente un facteur d’une importance capitale pour permettre aux plantes de développer correctement des racines, et d’effectuer une croissance et une floraison adéquates, plus encore si nous parlons de cultures hydroponiques ou aéroponiques. Certains cultivateurs novices ne tiennent pas compte de ce critère et ne se préoccupent pas de la température de l’eau avec laquelle ils arrosent leurs plantes, ce qui se traduit souvent par des problèmes mal diagnostiqués, ce qui aggrave encore plus la situation. Des plantes qui s’enracinent mal, avec une croissance trop lente, des carences en nutriments, ainsi qu’une faible floraison, peuvent être les symptômes d’une température d’eau d’arrosage inadéquate.
Si nous avons la chance de pouvoir utiliser l’eau du robinet pour arroser nos boutures ou graines de marijuana, nous devons toujours prendre en compte la différence de température à sa sortie du robinet, en hiver et en été, de même si nous utilisons des tuyaux en cultures d’extérieur. En hiver, l’eau des tuyaux peut geler (la plomberie également dans les cas les plus extrêmes) durant les heures les plus fraiches de la journée, et l’eau qui en ressort durant les heures les plus chaudes de la journée n’a pas atteint la température adéquate permettant d’arroser nos plantes. Par contre, en été, l’eau du robinet est plus chaude qu’en hiver, à une température appropriée dans beaucoup de cas. Nous verrons plus tard quels sont les problèmes dus à une température trop haute ou trop basse, et quelle est la fourchette de température d’arrosage que nous devrions utiliser.

Souvent, les cultivateurs qui obtiennent leurs récoltes à partir de cultures d’extérieur se limitent à une seule culture à l’année, qui commence en principe à la fin du printemps et termine, approximativement, au début de l’automne, lorsque le nombre d’heures journalières de lumière naturelle diminue progressivement. Les plantes de marijuana cultivées à partir de graines sont parfaitement adaptées à ce cycle lumineux naturel, bien qu’en cas d’utilisation de boutures provenant d’une culture intérieure, certains problèmes peuvent apparaitre. La photopériode naturelle de notre latitude (approximativement 40ºN) provoque la floraison des boutures enracinées en intérieur si nous les sortons en jardin extérieur avant le mois de juin, car les heures journalières de lumière solaire ne sont pas suffisantes pour stimuler la croissance de nos petits clones, qui entrent en floraison en peu de jours après leur sortie en extérieur.
C’est pourquoi, les cultivateurs qui utilisent des plantes issues d’intérieur pour leurs cultures de cannabis extérieures ne sortent pas leurs clones ou leurs plantes mère en extérieur avant début juin, de manière à ce que leurs plantes puissent grandir jusqu’au mois d’août et fleurir normalement, comme n’importe quelle autre plante issue de graine de marijuana. Cependant, ce “problème” peut devenir un grand avantage pour le cultivateur avisé, qui se rendra rapidement compte qu’avec l’aide d’une simple serre d’extérieur, il peut obtenir jusqu’à 3 récoltes annuelles en extérieur, à condition de disposer d’un espace de culture intérieur, qui, comme nous le verrons, n’a pas besoin d’être très grand.
Certes la qualité des fleurs ne sera pas la même que celle que nous obtiendrons grâce à une récolte en été (celle que nous sommes tous habitués à voir), mais les récoltes de printemps et d’automne représentent un apport supplémentaire qui, lorsque l’on dispose de peu d’espace de culture et que l’on ne peut satisfaire les besoins annuels en une seule récolte, fera la différence entre la possibilité de s’auto-produire en cannabis et de ne pas pouvoir le faire. Par la suite nous verrons les principales différences entre la culture en extérieur en saison (celle d’été) et hors saison (printemps et automne), et nous vous expliquerons comment respecter les saisons et comment faire pour obtenir avec succès, trois récoltes d’extérieur par an.

La technique de culture SCROG (Screen of Green) est l’une des méthodes les plus utilisées par beaucoup de cultivateurs pour s’assurer une bonne récolte, de manière simple et sans trop de complications. A l’inverse de ce qui se produit avec le système de culture SOG (Sea of Green) que nous connaissons déjà, dans une culture SCROG, généralement, le nombre de plantes par mètre carré est beaucoup plus réduit, ce qui, comme nous allons le voir par la suite, représente un certain nombre d’avantages et d’inconvénients.
En effet, dans une culture SOG, il est généralement utilisé entre 25-36 plantes par mètre carré (5x5, 6x6,...), de taille relativement réduite. Les plantes n’ont donc pas besoin d’une période de croissance spécialement longue, permettant ainsi changer la photopériode en floraison, en à peine 15 jours à partir de la germination des graines. Dans le cas où l’on ne dispose pas de salle ou armoire de croissance (avec 18 heures de lumière journalières et 6 heures d’obscurité) où elles peuvent grandir tandis que la culture actuelle se termine, cette méthode permet une transition rapide d’une culture à l’autre, car comme nous le venons de le dire, il n’est pas nécessaire de donner aux plantes une période de croissance très longue. Par conséquent, cette méthode s’avère idéale pour des plantes à hauteur modérée et pour des variétés de cannabis automatiques.
Par contre, dans une culture SCROG, peu de plantes sont utilisées par mètre carré, qui logiquement, devraient être relativement plus grandes (plutôt, beaucoup plus ramifiées) que celles que nous obtiendrions lors d’une culture SOG. A priori, ce système présente déjà deux nets avantages : d’un côté, il faut beaucoup moins de plantes pour couvrir la même superficie, avec une économie substantielle en graines et boutures. De plus, tout cultivateur sait qu’il est plus facile de s’occuper de 4 plantes plutôt que de 25, peu importe leur taille. D’autre part, l’autre avantage que présente cette technique concerne les aspects légaux. Bien que dans beaucoup de pays il n’existe pas de nombre concret de plantes autorisées à être cultivées, en cas de problème juridique (San Canuto nous protège) pour un juge, lire un rapport de police où sont mentionnées 4 plantes, ne sera pas pareil que s’il est question de 25 plantes ou plus.
À propos de ce Blog cannabique
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